C'est super intéressant ce partage PixelNomade47 ! Je n'avais pas pensé à regarder du côté des offices de tourisme, ils ont souvent des ateliers ou des guides pour aider les petits producteurs. Par contre, bien penser à vérifier si leur public correspond à votre clientèle cible, c'est toujours mieux quand il y a une bonne adéquation pour que ça porte ses fruits.
Si vous faites de l'artisanat local, avez-vous considéré les marchés de producteurs ou les foires artisanales ? Cela peut être un excellent moyen de toucher directement les clients et de bénéficier d'un retour immédiat sur vos produits. De plus, certains magasins de décoration ou concept stores sont souvent intéressés par ce type de produits. L'idée serait de les contacter directement pour voir s'ils seraient prêts à distribuer vos créations.
Théophile, c'est une excellente suggestion, les marchés et les foires artisanales! Ça me rappelle une étude de l'INSEE qui disait que les circuits courts (producteur -> consommateur) représentent environ 5% du chiffre d'affaires total de l'alimentation en France, mais avec une croissance constante ces dernières années. Je me demande si on pourrait extrapoler ça à l'artisanat... probablement pas directement, mais l'esprit est là, non ? Les gens cherchent de plus en plus à savoir d'où viennent les choses, qui les a faites. Ça correspond bien avec l'artisanat local, je pense.
J'ajouterais qu'il faut quand même faire gaffe à la logistique. Si Ellen Ripley a beaucoup de produits différents, ou des trucs fragiles, trimballer tout ça sur les marchés, ça peut vite devenir un enfer. Faut voir si le jeu en vaut la chandelle. Et puis, tous les marchés ne se valent pas. Certains sont très fréquentés, d'autres beaucoup moins... Faut bien se renseigner avant de s'engager. Une étude de marché *locale* serait vraiment utile, là. Comprendre qui sont les clients potentiels, quels sont leurs besoins, leurs habitudes d'achat...
Et pour les concept stores, c'est une bonne idée aussi, mais il faut bien choisir ceux qui correspondent à l'image de marque de l'entreprise d'Ellen. Si elle fait des trucs un peu bohèmes, ça ne sert à rien d'aller démarcher un magasin hyper design et minimaliste, par exemple. Faut que ça colle, sinon ça fait bizarre et ça risque de ne pas marcher. Faut penser *positionnement*, comme ils disent dans le jargon marketing. Et négocier les marges, bien sûr! Parce que les concept stores, ils prennent leur commission, hein... Et parfois, c'est pas donné. Faut faire ses calculs pour voir si on s'y retrouve financièrement. Bref, des pistes intéressantes, mais qui demandent pas mal de préparation et de réflexion avant de se lancer, je trouve. C'est jamais aussi simple qu'on le croit, la distribution... même quand on fait de l'artisanat.
Ellen Ripley, quand vous parlez d'artisanat local, c'est quel genre de produits exactement ? Est-ce que c'est des objets de déco, des accessoires, des produits alimentaires... ? Le type de produit peut influencer pas mal les canaux de distribution les plus pertinents, je pense.
Doucevie8, c'est une bonne question ! On fait surtout des petits objets de décoration et quelques accessoires (genre sacs, pochettes, des trucs comme ça). Rien de comestible, pour l'instant, on se concentre vraiment sur l'aspect déco et "faitmain". Voilà !
PixelTriste72 a raison, la logistique, c'est vraiment un point essentiel à considérer avec les marchés. J'ai une amie qui vend des bijoux faits main et au début, elle était super enthousiaste, puis elle s'est vite découragée parce qu'elle passait plus de temps à installer/désinstaller son stand qu'à vendre. Et mine de rien, le matériel, ça prend de la place et c'est lourd! Faut vraiment bien peser le pour et le contre.
Ah les bijoux faits main, ça me rappelle une époque où j'avais envisagé de me lancer dans la création de nœuds papillon en bois... idée vite abandonnée face à la complexité de l'outillage nécessaire.
Pour revenir à Ellen Ripley et ses objets de déco, je pense qu'en effet, les marchés peuvent être un bon test, mais peut-être pas à un rythme effréné. Une présence occasionnelle sur des événements ciblés pourrait être une bonne approche pour commencer.
Si Ellen Ripley fait des sacs et des pochettes, elle pourrait peut-être essayer de démarcher des boutiques de créateurs ou des espaces de coworking qui ont souvent un coin boutique. C'est moins contraignant qu'un marché et ça permet de toucher une clientèle potentielle intéressée par l'artisanat. Faut juste bien présenter ses produits et avoir un book photo de qualité.
Commentaires (11)
Merci pour vos premières pistes, je vais regarder tout ça de plus près. Chaque idée est bonne à prendre !
Dans cette vidéo, le Comité Régional de Tourisme présente un atelier sur la distribution multi-canal, ça peut donner des idées :
C'est super intéressant ce partage PixelNomade47 ! Je n'avais pas pensé à regarder du côté des offices de tourisme, ils ont souvent des ateliers ou des guides pour aider les petits producteurs. Par contre, bien penser à vérifier si leur public correspond à votre clientèle cible, c'est toujours mieux quand il y a une bonne adéquation pour que ça porte ses fruits.
Si vous faites de l'artisanat local, avez-vous considéré les marchés de producteurs ou les foires artisanales ? Cela peut être un excellent moyen de toucher directement les clients et de bénéficier d'un retour immédiat sur vos produits. De plus, certains magasins de décoration ou concept stores sont souvent intéressés par ce type de produits. L'idée serait de les contacter directement pour voir s'ils seraient prêts à distribuer vos créations.
Théophile, c'est une excellente suggestion, les marchés et les foires artisanales! Ça me rappelle une étude de l'INSEE qui disait que les circuits courts (producteur -> consommateur) représentent environ 5% du chiffre d'affaires total de l'alimentation en France, mais avec une croissance constante ces dernières années. Je me demande si on pourrait extrapoler ça à l'artisanat... probablement pas directement, mais l'esprit est là, non ? Les gens cherchent de plus en plus à savoir d'où viennent les choses, qui les a faites. Ça correspond bien avec l'artisanat local, je pense. J'ajouterais qu'il faut quand même faire gaffe à la logistique. Si Ellen Ripley a beaucoup de produits différents, ou des trucs fragiles, trimballer tout ça sur les marchés, ça peut vite devenir un enfer. Faut voir si le jeu en vaut la chandelle. Et puis, tous les marchés ne se valent pas. Certains sont très fréquentés, d'autres beaucoup moins... Faut bien se renseigner avant de s'engager. Une étude de marché *locale* serait vraiment utile, là. Comprendre qui sont les clients potentiels, quels sont leurs besoins, leurs habitudes d'achat... Et pour les concept stores, c'est une bonne idée aussi, mais il faut bien choisir ceux qui correspondent à l'image de marque de l'entreprise d'Ellen. Si elle fait des trucs un peu bohèmes, ça ne sert à rien d'aller démarcher un magasin hyper design et minimaliste, par exemple. Faut que ça colle, sinon ça fait bizarre et ça risque de ne pas marcher. Faut penser *positionnement*, comme ils disent dans le jargon marketing. Et négocier les marges, bien sûr! Parce que les concept stores, ils prennent leur commission, hein... Et parfois, c'est pas donné. Faut faire ses calculs pour voir si on s'y retrouve financièrement. Bref, des pistes intéressantes, mais qui demandent pas mal de préparation et de réflexion avant de se lancer, je trouve. C'est jamais aussi simple qu'on le croit, la distribution... même quand on fait de l'artisanat.
Ellen Ripley, quand vous parlez d'artisanat local, c'est quel genre de produits exactement ? Est-ce que c'est des objets de déco, des accessoires, des produits alimentaires... ? Le type de produit peut influencer pas mal les canaux de distribution les plus pertinents, je pense.
Doucevie8, c'est une bonne question ! On fait surtout des petits objets de décoration et quelques accessoires (genre sacs, pochettes, des trucs comme ça). Rien de comestible, pour l'instant, on se concentre vraiment sur l'aspect déco et "faitmain". Voilà !
PixelTriste72 a raison, la logistique, c'est vraiment un point essentiel à considérer avec les marchés. J'ai une amie qui vend des bijoux faits main et au début, elle était super enthousiaste, puis elle s'est vite découragée parce qu'elle passait plus de temps à installer/désinstaller son stand qu'à vendre. Et mine de rien, le matériel, ça prend de la place et c'est lourd! Faut vraiment bien peser le pour et le contre.
Ah les bijoux faits main, ça me rappelle une époque où j'avais envisagé de me lancer dans la création de nœuds papillon en bois... idée vite abandonnée face à la complexité de l'outillage nécessaire. Pour revenir à Ellen Ripley et ses objets de déco, je pense qu'en effet, les marchés peuvent être un bon test, mais peut-être pas à un rythme effréné. Une présence occasionnelle sur des événements ciblés pourrait être une bonne approche pour commencer.
Si Ellen Ripley fait des sacs et des pochettes, elle pourrait peut-être essayer de démarcher des boutiques de créateurs ou des espaces de coworking qui ont souvent un coin boutique. C'est moins contraignant qu'un marché et ça permet de toucher une clientèle potentielle intéressée par l'artisanat. Faut juste bien présenter ses produits et avoir un book photo de qualité.
Les espaces de coworking avec coin boutique, c'est pas bête du tout ! J'y avais pas pensé, ça peut être un bon compromis en effet.